Vers une meilleure prise en charge des prothèses capillaires dès 2026

À partir du 1ᵉʳ janvier 2026, la France renforce la prise en charge des prothèses capillaires. Cette avancée, portée par le ministère de la Santé, vise à mieux accompagner les personnes touchées par un cancer ou une alopécie en réduisant leur reste à charge et en facilitant l’accès à ces dispositifs essentiels.
Vers une meilleure prise en charge des prothèses capillaires dès 2026
Vers une meilleure prise en charge des prothèses capillaires dès 2026

Vers une meilleure prise en charge des prothèses capillaires dès 2026

À partir du 1ᵉʳ janvier 2026, la prise en charge des prothèses capillaires sera renforcée en France. Cette mesure, annoncée par le ministère de la Santé, s’inscrit dans la volonté d’améliorer la qualité de vie des personnes touchées par un cancer ou par certaines formes d’alopécie. L’objectif : alléger le reste à charge et rendre ces dispositifs plus accessibles à toutes les personnes concernées.

Une avancée majeure pour les patients

La prothèse capillaire, aussi appelée perruque médicale, est bien plus qu’un dispositif esthétique : elle participe pleinement au processus de reconstruction personnelle pendant et après un traitement. Pour de nombreuses personnes, elle contribue au maintien de la confiance en soi et à un meilleur équilibre psychologique.

Jusqu’à présent, le remboursement dépendait de la catégorie de la prothèse choisie. En pratique, les perruques de « classe 1 » (en fibres synthétiques) pouvaient être intégralement remboursées dans la limite d’un tarif fixé à 350 €, tandis que les modèles de « classe 2 » (comportant une partie en cheveux naturels) faisaient l’objet d’un remboursement partiel, avec un reste à charge parfois conséquent.
La réforme prévue pour 2026 devrait améliorer ces conditions, notamment en élargissant les catégories prises en charge et en simplifiant les démarches administratives.

Une mesure à forte dimension humaine

Au-delà de l’aspect financier, cette évolution traduit une reconnaissance plus large des effets psychologiques de la maladie. La prise en charge des prothèses capillaires devient un levier essentiel du parcours de soin global, au même titre que l’accompagnement thérapeutique ou social. Elle vise à offrir plus d’équité et de dignité aux personnes confrontées à la perte de leurs cheveux à la suite d’un traitement lourd.

Cette réforme s’intègre dans une dynamique plus large du dispositif « 100 % santé », qui tend à garantir à chaque assuré un accès facilité aux équipements médicaux essentiels, sans reste à charge ou à coût réduit.

Quelles conséquences pratiques ?

Pour les assurés, cette évolution se traduira par :

  • une amélioration du remboursement des prothèses capillaires ;
  • une simplification des démarches auprès des professionnels agréés ;
  • et une réduction du reste à charge, notamment grâce à la complémentaire santé.

KERIALIS, engagée aux côtés des personnes touchées par le cancer

Cette réforme sur la prise en charge des prothèses capillaires marque une étape importante vers un accompagnement plus complet des patients. Elle illustre la volonté de rendre le système de santé plus inclusif et attentif aux impacts psychologiques de la maladie.
KERIALIS s’engage depuis plusieurs années aux côtés des personnes confrontées à la maladie en les informant sur les nouvelles mesures et en soutenant les initiatives favorisant la prévention et l’accompagnement.

Dans cet esprit, Découvrez le livre blanc intitulé “Cancer & Travail”, qui aborde les enjeux du retour à l’emploi, du maintien de l’activité et de la qualité de vie professionnelle après la maladie.

👉 Télécharger le livre blanc “Cancer & Travail”

 

 

Source: https://www.previssima.fr/actualite/cancer-alopecie-vers-une-meilleure-prise-en-charge-des-protheses-capillaires-des-2026.html