Journée mondiale de l’environnement 2025 : stop au plastique 

Journée mondiale de l’environnement 2025 : stop au plastique 
Journée mondiale de l’environnement 2025 : stop au plastique 

Coordonnée par le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) depuis 1973, la journée mondiale de l’environnement est devenue l’un des principaux vecteurs mondiaux de sensibilisation écologique, rassemblant plus de 150 pays chaque année. 

Qu’est-ce que la Journée mondiale de l’environnement ? 

Instituée en 1972 lors de la Conférence de Stockholm sur l’environnement humain, la Journée mondiale de l’environnement offre une plateforme mondiale pour sensibiliser le public aux enjeux environnementaux tels que la pollution, le changement climatique et la perte de biodiversité, encourageant des actions concrètes pour un avenir durable. 

Le thème 2025 : « Mettre fin à la pollution plastique mondiale » 

Cette année, la campagne met l’accent sur la lutte contre la pollution plastique, un problème qui affecte tous les coins de notre planète, s’infiltrant dans l’eau que nous buvons, la nourriture que nous consommons et même dans notre corps sous forme de microplastiques. La campagne 2025 appelle à une action collective pour refuser, réduire, réutiliser, recycler et repenser notre utilisation des plastiques, en mettant en lumière des solutions concrètes et inspirées de la nature. 

La République de Corée, hôte officiel 2025 

La République de Corée accueille les célébrations mondiales de cette édition. Ce pays a réalisé des progrès significatifs en matière de gestion des déchets et de transition vers une économie circulaire. La province de Jeju, en particulier, s’est fixée pour objectif de devenir exempte de pollution plastique d’ici 2040, mettant en œuvre des initiatives telles que des systèmes de dépôt pour les gobelets jetables et des centres de tri des déchets ménagers.  

Pourquoi agir maintenant ? 

La pollution plastique est l’un des défis environnementaux les plus urgents, mais aussi l’un des plus solvables. Des solutions existent et sont à portée de main. En 2022, une résolution a été adoptée pour élaborer un traité mondial juridiquement contraignant visant à mettre fin à la pollution plastique, y compris dans le milieu marin. Les négociations se poursuivent, avec une session prévue du 5 au 14 août 2025 à Genève.   

KERIALIS, engagée en matière de responsabilité sociétale des entreprises (RSE) 

Actrice engagée dans la protection sociale, KERIALIS intègre pleinement les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) à sa stratégie. Labellisée LUCIE Progress, sa démarche RSE s’appuie sur la norme internationale ISO 26000 et repose sur cinq piliers structurants :  

  • Gouvernance,  
  • Relations et conditions de travail, 
  • Impact environnemental, 
  • Consommateurs et clients, 
  • Prévention, solidarité, communauté. 

La RSE chez KERIALIS : des engagements concrets 

L’approche de KERIALIS repose sur des actions concrètes qui témoignent d’un engagement sincère pour la transition écologique : 

Réduction et gestion des déchets 

  • Suppression des poubelles individuelles au profit de poubelles de tri collectives avec signalétique informative. 
  • Limitation des objets à usage unique, comme les gobelets jetables (chaque nouveau collaborateur reçoit un mug réutilisable). 
  • Recyclage du papier / carton : en 2024 4,5 Tonnes ont été recyclées. 
  • Sensibilisation active via l’intranet, avec des contenus réguliers sur le tri, le développement durable et l’économie d’énergie. 

Mobilité durable et écoresponsabilité 

  • Installations de racks à vélos pour favoriser les déplacements doux. 
  • La majorité des collaborateurs utilisent les transports en commun ou des mobilités douces. 

Maîtrise des consommations 

  • Signalétique dans les bureaux et sanitaires pour encourager les économies d’énergie (chauffage, eau, électricité). 
  • KERIALIS identifie les postes les plus énergivores (eau, énergie, matières premières) pour y déployer des actions de réduction. 
  • KERIALIS s’engage à fixer des objectifs de baisse de ses consommations énergétiques et de GES à moyen et long terme. 

Semaine du développement durable 

  • Organisation d’ateliers de sensibilisation : fresque du climat, atelier empreinte carbone, fresque numérique, collecte de vêtements, etc. 
  • Actions concrètes pour préserver la biodiversité, via la plateforme Komeet et des partenariats associatifs. 

Achats responsables 

  • Intégration systématique de critères RSE dans les appels d’offres fournisseurs. 
  • Les pratiques responsables et la formatisation carbone des prestataires sont accentuées.